Ne pas se laisser toucher par l’agression verbale – comme nous le ferions de l’agression physique – est la solution qu’adoptent ces grandes âmes dont nous parle Jean de la Bruyère.
Mais cela ne nous épargne pas la question de la vulnérabilité qui nous caractérise lorsque nous voulons rester sensibles, c’est-à-dire connectés à la vie et au monde qui nous entoure.